Différences entre les versions de « La plongée par systèmes »

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Au-delà de 80 mètres, il est problématique de s’aventurer en plongée autonome, pour des explorations avec des temps de fond de supérieurs à 20 minutes, car les énormes réserves de gaz à emmener avec soi sont vites dissuasives.
Au-delà de 80 mètres, il est problématique de s’aventurer en plongée autonome, pour des explorations avec des temps de fond de supérieurs à 20 minutes, en [[circuits ouverts]], car les énormes réserves de gaz à emmener avec soi sont vites dissuasives.
   
   
Deux techniques particulières ont alors été développées qui font appel à des systèmes :  
Deux techniques particulières ont alors été développées qui font appel à des systèmes :  

Version du 23 mai 2008 à 07:56

Au-delà de 80 mètres, il est problématique de s’aventurer en plongée autonome, pour des explorations avec des temps de fond de supérieurs à 20 minutes, en circuits ouverts, car les énormes réserves de gaz à emmener avec soi sont vites dissuasives.

Deux techniques particulières ont alors été développées qui font appel à des systèmes :


1) Les Recycleurs.

2) Les Caissons.


Les Recycleurs sont des systèmes légers permettant une autonomie importante par le recyclage de l'air expiré.

Les caissons (ou tourelles) impliquent une infrastructure nautique lourde qui permet de descendre les plongeurs en grande profondeur, et d'assurer leur décompression en toute sécurité.

Grâce a ce système développé par le suisse Hannes Keller, la première plongée plus de 300 mètres à été réalisée en 1962 avec sa tourelle Atlantis. Ce support de surface extrêmement complexe implique une l’alimentation en gaz, en énergie, en communications, en eau chaude et eau potable etc. C'est un domaine hors de portée des plongeurs sportifs.


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